10 questions à se poser avant de prendre un visa Vacances-Travail au Japon

Vous avez l’intention de prendre un Visa Vacance travail aussi appellé Working Holiday (WH) Super !!

J’imagine que pour la plupart, le Visa Vacances Travail est vue comme une porte d’entrée, pour le Visa de Travail.
Si ce le cas, et si vous désirez vraiment rester plus d’un an au Japon et y travaillez voici quelques questions à vous poser avant de faire votre Working Holiday au Japon.

1 – Avez vous déjà visiter le Japon ?

[dropcap_1] F [/dropcap_1] aire un visa vacances-travail sans jamais être allé au Japon, c’est génial. Mais si votre but est de rester plus de un an alors il faudrait probablement l’aide des Dieux pour que cela se produise.
A moins, d’avoir un niveau de japonais courant, une expérience solide, minimum 3 ans dans un domaine recherché comme la finance, l’informatique, et un anglais béton.

2 – Combien de fois ?

[dropcap_1] P [/dropcap_1] lus vous êtes venez plus vous aurez vu de choses et expérimenter. C’est un avantage concurrentiel à ne pas négliger quand on vous donnera rendez au 31F de la tour Mori et qu’on vous questionnera sur le japon lors de votre entretien.

3 – Avez vous de amis sur place sur qui vous pouvez compter en cas de pépins (de vrais amis pas des correspondants)

[dropcap_1] U [/dropcap_1] n réseau peu aider pas mal dans votre recherche d’emploi. C’est bien connu, c’est toujours quand on à déjà un boulot qu’on reçoit des offres . Alors pourquoi ne pas en faire profiter les autres.

4 – Avez vous déjà fait un stage au japon ?

[dropcap_1] A [/dropcap_1] voir déjà une expérience au Japon rassure énormément les recruteurs sur votre habileté à vous adapter au monde de l’entreprise japonais. Si vous n’en avez pas n’hésiter à en faire un avant de vous lancez de prendre votre visa vacances-travail. Il se pourrait même que vous soyez embauché ou recommandé a une autre boite si vous travailler bien au quelle cas le Visa WH n’aura aucune utilité.

5 – Avez vous déjà un diplôme niveau bac+3 ou équivalent ?

[quote_right] Qui ne tente rien n’a rien ! [/quote_right]

[dropcap_1] L [/dropcap_1] ‘immigration au Japon étant très sélective, il est fortement recommandé d’obtenir son Bac+3 avant de commencer ses recherches d’emploi au Japon. Il existe bien sur des cas exceptionnelles qui bien souvent sont les arbres qui cache la forêt, les nombreux autres silencieux qui n’ont pas eu cette chance. Le travail et l’acharnement seront vos principaux atouts pour parvenir à vos fins.
Mais après tout comme on dit la chance ne tombe pas du ciel elle se provoque.Qui ne tente rien n’a rien !

6 – Avez vous 1 ans ou plus d’expérience ?

[dropcap_1] A [/dropcap_1] u Japon comme ailleurs, l’expérience est très valorisé. Elle fait la différence entre les nouveaux diplômes et les autres. Au Japon, les nouveaux diplômes travers un processus de recrutement assez différent de celui de la France dans le sens ou la plupart d’entre eux passe des entretiens d’embauche 1 an avant leurs sortir d’université. Si vous débarquer au Japon au même niveau il vous faudra donc de quoi avoir une valeur ajoutée qu’ils n’ont pas.

7 – Avez vous 10 ans d’expérience dans un domaine ?

[dropcap_1] P [/dropcap_1] our des raisons administrative, avoir 10 ans d’expérience dans un domaine peut être demander par l’administration japonaise lors de la demande d’un visa de travail. Il faut savoir que ces 10 d’expérience peuvent comprendre les années d’études après le bac dans le domaine en question, ce qui peut aider à réduire cette période. Mais pour ceux qui n’ont pas Bac+3 cela peut s’avérer un atout décisif pour l’obtention d’un visa de travail.

8 – Quel est votre niveau de japonais ?

[quote_right] niveau 2 du JLPT ou équivalent. [/quote_right]

[dropcap_1] H [/dropcap_1] ormis les postes de professeur de français et d’anglais, le japonais est la langue utilise pour le travail ainsi que pour les autres activités de votre vie au Japon. En ce sens votre niveau de japonais, sera votre billet pour obtenir une place dans une entreprise au Japon.
Le niveau disons minimal à avoir serait le niveau 2 du JLPT ou équivalent. Il n’est donc pas nécessaire de passer l’examen mais avoir un niveau de langue qui s’en approche est quasiment indispensable. Plus c’est encore mieux. Si votre niveau est encore faible alors mettez toutes vos chances de coter en le perfectionnant les premiers mois après votre arrive.

9 – Quel est votre niveau d’anglais ?

[dropcap_1] E [/dropcap_1] n effet la plupart des entreprises pour lesquelles vous travaillerez utilisent l’anglais comme langues de travail. Ainsi votre niveau d’anglais parler et écris sera en compétition direct avec celui des autres étrangers sur place tel que les pakistanais, les indiens, les bangladais, les chinois ou encore les coréens.

10 – Avez vous suffisamment d’argent ?

[highlight] 4000€ étant un minimum viser plutôt les 10 000 € au cas ou. [/highlight]

[dropcap_1] L [/dropcap_1] a cherche d’un emploi stable qui débouche vers un visa de travail peu s’avérer longue et sinueuse. Ainsi un bon matelas financier est nécessaire en fonction de votre préparation.
En gros, plus vous vous êtes préparé à venir travailler au Japon, moins vous aurez besoin de ressources. Voir le cas suivant :

Niveau en Japonais (JLPT2 ou +)

+ Niveau en Anglais (Business ou +)

+ expérience en entreprise (2 / 3 ans dans le domaine ou +)

+ un stage au Japon (1 mois ou +)

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[highlight] Visa de Travail [/highlight]

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En conclusion

Réussir le passage d’un visa vacances travail à un visa de travail est une entreprise ardue. Mais si vous réunissez les conditions telles que le niveau de langue, l’expérience, ainsi qu’un fond de roulement suffisant. Rien n’est alors impossible, en tout cas dans les limites que vous vous imposez vous même.
Il serait dommage de gâcher une chance comme celle du visa WH, parce qu’on a voulut aller trop vite et brûler des étapes.

[quote_right] on apprends toujours plus dans la défaite que dans la victoire [/quote_right]

Mais après tout comme on dit la chance ne tombe pas du ciel elle se provoque. Qui ne tente rien n’à rien ! Et on apprends toujours plus dans la défaite que dans la victoire . Pour avoir échoué à maintes et maintes reprises je peux témoigner, l’essentiel c’est de rebondir et d’une expérience positive.

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