Comment travailler au Japon ? – NOUVEAU LIVRE

Hey ! Ca va ?

En 2013, j’ai écrit un guide, comment trouver un emploi au Japon en 6 mois. Depuis quelques temps, j’ai retiré ce guide de la vente avec toutes les anciennes formations associés.

En effet, mon but était de prendre un nouveau départ, d’essayer une nouvelle approche, et ainsi, de vous aider encore plus qu’avant à réaliser vos rêves au Japon.

Pour cela, je suis décidé à faire un nouveau guide, avec tout ce que j’ai appris de nouveau depuis la création du premier. Mais également, avec les stratégies qui marchent toujours, et qui continuerons toujours de fonctionner dans les années à venir.

Aussi, j’ai décidé de prendre une toute nouvelle approche. Plutôt que d’écrire mon livre dans mon coin et de le mettre en vente. Pourquoi ne pas l’écrire petit à petit, et partager son contenu avec vous ? Je n’ai rien à perdre…même pas une vente…

Je suis convaincu que de toutes façons, les gens qui achètent des livres, des formations sont toujours ceux qui obtiennent le plus de résultats au final. Parce qu’ils sont prêt à investir en eux-mêmes.

De l’autre côté, les gens qui n’achètent pas. C’est souvent parce qu’ils ne savent pas ce que vous pouvez leur apporter. Ils doutent, ils pensent que c’est de l’arnaque et donc ne vous font pas confiance.

Et pour une toute petite minorité, ils n’achèterons jamais, car ils sont a la recherche du tout gratuit…
En général, ce sont ceux qui réussissent le moins.

Parce que quoi qu’on puisse en dire, RIEN n’est gratuit… à part l’air que nous respirons…
Venir au Japon coute de l’argent, apprendre le japonais coute de l’argent, obtenir les diplômes pour pouvoir venir ici coute de l’argent…

Investir en vous-même, c’est le plus beau cadeaux que vous puissiez vous faire. Je ne dis pas ça pour que vous achetiez mes guides et formations.
D’ailleurs ne les achetez pas ! Si vous n’êtes pas sûr que vous allez vraiment les mettre en pratique. (Les clients qui passent à l’actions sont ceux qui obtiennent le plus de résultats… )

Non, je parle en général.

D’une manière générale, le meilleur investissement, il n’est pas offert par la bourse, ni par les banques, ou l’immobilier, mais il est offert par vous-même, pour vous-même.

Aujourd’hui même, vous pouvez acheter un livre qui CHANGERA votre vie. Vous pouvez voir une video ou une formation qui CHANGERA votre vie. Mais pour ça, il faut investir en vous même.

Et ça commence par les LIVRES…

v D’ailleurs, vous n’avez même pas besoin d’acheter.
Vous pouvez aller a la bibliothèque et voir si il est dispo.
Vous pouvez googler pour voir si un PDF est téléchargeable gratuitement…

Le problème avec le gratuit… c’est qu’il est gratuit… et donc qu’il n’a pas de valeur… Mais c’est un autre sujet, sur lequel je reviendrais plus tard…

Quoiqu’il arrive fait vous ce cadeaux.
Investissez en vous même !
Allez cherchez les livres, les formations, les videos, lisez, découvrez, instruisez-vous…

VOUS NE LE REGRETTEREZ JAMAIS !

Bon, il est temps pour moi d’entamer quelques lignes pour mon nouveau livre…

D’une manière générale, le meilleur investissement, il n’est pas offert par la bourse, ni par les banques, ou l’immobilier, mais il est offert par vous-même, pour vous-même.

Salut !

Je m’appelle Wilde.
Je suis un français de 30 ans.

Je vis et travail à Tokyo depuis 2010.
Je suis arrivé au Japon le 1er avril 2010, avec un visa Vacances-Travail valide pour une durée d’un an.

J’ai cherché un emploi sur place pendant 3 mois avant de tomber sur la boite dans laquelle je travaille toujours aujourd’hui.

J’ai commencé le 13 juillet 2010 en intérim.
Puis mon entreprise à décidé de me fournir les quelques papiers nécessaire pour que je puisse changer de statut.

En décembre 2010, j’ai donc changé de statut.
Je suis passé d’un Visa Vacances-Travail à un Visa de Travail – Ingénieur – valide pendant 3 ans. Les démarches que j’ai faites, mon permis de faire ce changement de statuts, sans avoir à sortir du territoire japonais.

Mon entreprise est un cabinet d’avocat international basé a New York, mais ayant des bureaux dans toutes les grandes capitales.
Je fais partie de l’équipe qui gère le système informatique de cette firme.

Mon job est plutôt cool, je suis le seul technicien dans mon bureau a Tokyo. Ce qui fait que je n’ai personne au dessus de moi, personne pour me mettre la pression, pendant qu’il/elle se tourne les pouces devant mes yeux.

En plus de ça, mes horaires sont comment dire… à l’heure française.
Je travaille tous les jours de 9h30 à 17h30, avec une heure de pause dans la journée. Ce qui nous donne une semaine de 35 heures…

Coté heures supplémentaires, elles sont toutes payés.
Mais la plupart du temps, à 17h34… je suis déjà dans le métro…
Présenté comme ça, ça fait fonctionnaire…

Et de ce point de vu, je suis chanceux.

De l’autre, mes responsabilités sont assez importante. Je dois m’occuper de tout, du support utilisateur, en passant par la négociations des contrats avec les vendeurs locaux, la gestion du parc informatique. Je dois également m’assurer de l’implémentation de nouveaux matériels coté serveurs et réseaux, ainsi que m’assurer de leur bon fonctionnement…

Avec tout ça, on ne m’a toujours pas virée depuis bientôt 6 ans. J’ai l’impression que c’est un miracle… Je ne sais pas, ça doit être le syndrome de l’ursupateur…

J’ai l’impression de ne pas mérité là ou je suis….
C’est peut-être le cas, je ne sais pas… Mais je sais que si je n’aurai pas bosser ici, j’aurai été embauché ailleurs, toujours au Japon, surement dans une Grande Banque…

Pourquoi je dis que j’ai l’impression de pas avoir mérité tout ça ?

La vérité, c’est que j’ai presque toujours été un élève passable… pour ne pas dire mauvais. Le genre d’élève qui ne se fatigue pas, a partir du moment ou il a la moyenne, c’est bon.

Dans ma petit mémoire de poisson rouge, j’ai l’impression que j’ai plus bossé au Collège que je ne bossais au Lycée… Au collège j’étais entourer de bosseur, de têtes, du coup, le niveau de la classe était élevé par rapport a la moyenne de mon établissement.

Mais ensuite, et encore aujourd’hui, je me repose sur mes lauriers, sur mes acquis, c’est ce comportement qui m’a coincé une fois que j’eu décroché mon Bac avec 10, 00.

Arrivé en fac, c’en était fini avec les professeurs qui s’occupent de vous aux petits soins. C’en était fini de l’encadrement, des absences, etc..
C’était la fête ! Au lieux que les élèves soient virer de la salle de classe, c’était les professeurs qui se viraient eux-mêmes…

Malheureusement pour moi, j’ai jamais pris pied, pour ne pas dire que je l’ai perdu. Résultat, je n’ai jamais eu ma première année, et ceux, même après deux tentatives…

Un échec au gout amère, surtout quand vous savez que vous n’avez pas vraiment travailler à fond. Que vous ne vous êtes pas donner comme il le fallait…

Quoi qu’il en soit, j’ai du faire mon deuil de l’université.
C’est ainsi que j’ai fini par atterrir en BTS, après une année de déscolarisation…

Certains, appelleront ça une année blanche ou sabbatique… Mais après 2 années foutu en l’air cette troisième année n’avait rien de sabbatique pour moi… C’était une année noire, enfermé chez moi.

Si ce n’était pas que j’avais comme rêve de venir au Japon. Et que pour venir au Japon, je savais qu’il fallait un BAC+3 minimum, je n’aurai peut-être jamais refait surface…

Mais le destin est en perpétuelle mouvement, il n’est pas figé ni écrit, c’est à vous de l’écrire. Et vous pouvez le faire tous les jours, comme j’écris ces lignes… Ce destin qui vous attends, c’est à vous de l’écrire, de le modifier si nécessaire.

Mais dans aucunes circonstances, ne vous laissez pas faire par les événements de la vie.
Ce qui compte, ce n’est pas ce qui vous arrive, c’est comment vous réagissez ENSUITE…

Si votre maison est abattue par une tempête. Ce qui compte ce n’est pas la tempête, ce n’est pas que votre maison soit détruite. Ce qui compte réellement c’est de tout faire pour la reconstruire encore plus belle et plus solide qu’elle ne l’était…

A suivre…

Bien Préparer sa rentrée 2017

Tout est là…

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